Il y a aussi ces barrières qui nous limitent, nous restreignent. Lois, codes, coutumes...Matérielles ou morales, elles définissent l'espace de vie, la liberté de chacun, notre rapport avec les autres.
Enfin, il y a celles qui nous entravent, qui nous cantonnent, qui nous contiennent, qui nous freinent, qui nous emprisonnent.Ce sont les pires. Elles ne sont ni palpables, ni quantifiables. Elles vont,

Elles sont en nous, elles nous brident. Elles nous font voir le monde avec leurs yeux. Elles biaisent notre rapport à nous-même. Elles nous forcent à suivre une route qui bien souvent ne nous sied pas. Elle nous incite, tout rond que nous sommes, à vouloir rentrer dans des cases triangulaires...
2 commentaires:
Chère inconnue...
Très belle reflexion et sur le bonheur et sur les barrières ( au bonheur?). Je suis touché par cette conception des choses. A chaque être d'adapter ses rondeurs aux diverses formes du monde, et mieux encore, aux rondeurs d'autrui. Vive les barrières qui tombent et se lèvent!!!!
Superbe réflexion en effet...
Moi j'aime quand j'identifie les miennes et que j'arrive à les ouvrir, à les propulser loin de ma route. Parfois elles résistent. Parfois c'est facile de les briser.
J'en ai aussi sûrement d'autres à découvrir...
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